Communiquer l’invisible

La douleur chronique touche environ une personne sur quatre au Canada, avec proportion plus élevée de femmes. Bien que les femmes soient surreprésentées dans plusieurs conditions douloureuses et qu’elles vivent des douleurs sévères, fréquentes, diffuses incapacitantes, la ne semble pas avoir été conceptualisée comme un enjeu féministe. Cet article déploie approche auto-ethnographique afin d’analyser comment l’expérience quotidienne est Deux thèmes principaux sont analysés à partir quotidien l’autrice, soit 1) difficultés liées reconnaissance douleur, particulièrement importantes pour personnes appartenant d’autres groupes marginalisés ou se situant l’intersection diverses identités, 2) le renforcement par différents systèmes d’oppression classisme, capitalisme, capacitisme patriarcat.